COVID-19: Circulaire n°1102 MTE-CAB à l’attention des promoteurs des établissements de Tourisme et de Loisirs

Téléchargez ici, circulaire n°1102_MTE-CAB relative à la levée de certaines mesures exceptionnelles à la riposte contre la pandémie de covid-19

Circulaire n°1102 MTE-CAB
(L’attention des promoteurs des établissements de tourisme de loisirs)

En référence à la communication du Premier Ministre, Chef du Gouvernement, du 20 juin 2020, sur le deuxième palier du déconfinement progressif en république du Congo, les mesures ci-après prises par circulaire n°0813/MTE-CAB du 31 mars 2020 sont levées sur l’ensemble du territoire :

– Fermeture des établissements d’hébergement (hôtel et établissement assimilés;

– Fermeture des agences de voyages et autres services de réservation;Interdiction de l’organisation des voyages de tourisme , excursions et randonnées;

– Interdiction des activités liées aux services de restauration et de consommation de boissons;
– Interdiction des activités liées de location des véhicules de tourisme.

Toutefois, demeurent en vigueur les mésures-après:
– Fermeture des bars dancing, boîtes de nuit et autres établissements clos de danse ;
– Fermeture des salles de jeux, de cinéma et spectacles ;
– Interdiction de l’organisation des voyages de croisières ;
– Limitation à (50) personnes maximum, participant à toute activité collective, dans le strict respect des mesures de prévention d’hygiène, de mesures barrières, distanciation physique et le port obligatoire et conforme du masque.

Tout contrevenant aux mesures ci-dessus, s’exposera aux conditions de rigueur et de sanctions par la lois et règlement en vigueur.

Le combat pour l’environnement et contre le coronavirus sont indissociables

Par Arlette Soudan-Nonault, Ministre du Tourisme et de l’Environnement.

Vous pouvez télécharger la version pdf ici.

S’il est une chose que la pandémie du coronavirus Covid-19 nous rappelle chaque jour, c’est que notre planète n’est pas seulement interconnectée, elle est interdépendante. Une chauve-souris contamine un mammifère, ce mammifère est vendu sur un marché chinois, il infecte ceux qui le consomment et en quelques semaines le monde entier est atteint, y compris notre pays, le Congo.

Sur les hautes instructions du Chef de l’Etat, SE Denis Sassou Nguesso, le Premier Ministre et son gouvernement ont très tôt réagi face à l’inévitable extension de la menace. Des mesures drastiques que chacun est tenu de respecter ont été prises pour nous protéger.

Une task force ministérielle a été mise en place pour gérer et atténuer les conséquences sanitaires, sociales et économiques de cette situation de crise. Faisons lui confiance.

Mais alors que les philosophes et les sociologues débattent déjà sur « le monde d’après le coronavirus », qui sera nous assurent-ils très différent du monde d’avant, l’heure est plus que jamais à la responsabilité individuelle.

La Ministre de l’Environnement que je suis a été, comme beaucoup d’écologistes, interpellée par la lecture d’une toute récente étude de la Société italienne de médecine environnementale, qui établit un lien direct entre la dégradation accélérée de notre environnement et la propagation du Covid-19. Selon cette étude, la pollution de l’air et des sols offre une « autoroute » au coronavirus en jouant un rôle d’accélérateur pour sa diffusion.

Non seulement la pollution fragilise l’état de santé des populations confrontées à l’épidémie, mais elle favorise son expansion.

Le rôle de la pollution dans la transmission des virus était déjà connu des chercheurs et documenté. Il est désormais évident. Par ailleurs, ainsi que l’indique l’économiste et spécialiste du développement durable Laurence Tubiana, « le dérèglement climatique est un vrai multiplicateur de menaces, y compris virales ». Enfin, s’ajoutent à cela les conséquences néfastes de la déforestation qui de plus en plus met en contact direct l’homme et la faune sauvage, ainsi que l’état d’insalubrité de nos décharges à ciel ouvert, véritables réservoirs de virus et d’espèces d’insectes jusqu’ici inconnues.

Depuis la parution de cette étude italienne au début de la pandémie, la quasi mise à l’arrêt de l’économie mondiale a eu pour conséquence une diminution spectaculaire des émissions de carbone à travers la planète, donc de la pollution de l’air. Même si cela peut sembler paradoxal de le dire, c’est une bonne chose pour la santé publique. La surmortalité due chaque année à la pollution atmosphérique se chiffre en effet en dizaines de millions d’êtres humains.

Mais c’est évidemment une très mauvaise nouvelle pour l’économie, le développement et les échanges. Pour autant, quand nous sortirons de cette crise – et nous en sortirons tôt ou tard- tout devra-t-il repartir exactement comme avant ? Je ne le crois pas. L’erreur en effet serait de ne pas rendre durable la modification de nos comportements imposée par la pandémie, de faire rebondir les émissions de Co2 à la hausse et de ne pas saisir l’occasion pour progresser encore plus vite vers une économie décarbonée. Comme l’a dit Barack Obama : « une crise, c’est une opportunité ».

Ce n’est pas l’urgence climatique qui nous y oblige aujourd’hui, mais l’urgence épidémique. Pour freiner la propagation du virus, il nous faut impérativement assainir nos villes, en finir avec les poubelles qui débordent, les ordures qui encombrent nos caniveaux, les étals à même le sol, la commercialisation illégale de la viande de brousse, les marchés insalubres où l’on se presse et se bouscule dans le plus grand désordre. Il faut apprendre à aérer et à désinfecter nos habitations, à cesser de se rendre en groupe au chevet des malades.

Soyons responsables, n’attendons pas des autorités qu’elles fassent à notre place les gestes citoyens qui nous incombent. Une ville n’est pas sale en elle-même, elle est salie par ses habitants.

Les gestes barrières contre le virus ne sont pas seulement ceux qu’indique l’OMS et qu’il faut absolument appliquer. Ils concernent aussi notre culture et notre sociabilité traditionnelles.

Les rassemblements religieux, les veillées, les mariages, les transports en commun sont des hauts lieux de propagation de n’importe quelle épidémie, à commencer par celle du Covid-19. Je sais que ce n’est pas facile et que beaucoup n’ont guère le choix des moyens. Mais limiter le nombre de personnes assistant à des cérémonies, se tenir partout à distance l’un de l’autre, ne plus se serrer la main, ni s’embrasser ou se toucher le front tant que plane la menace, ces comportements de survie sont-ils impossibles ? Je ne le pense pas.

Depuis que le gouvernement a décrété la fermeture des dancings, des VIP et des Caves, afin d’éviter une promiscuité potentiellement contagieuse, certains de ces établissements continuent de fonctionner clandestinement à l’abri des portes closes. Dans les hôtels réquisitionnés pour y confiner les voyageurs de retour au Congo, certains individus s’autorisent à inviter des ami(e)s dans leurs chambres pour boire un verre ou y passer la nuit et s’en vantent sur les réseaux sociaux.

Ces comportements inadmissibles et irresponsables qu’il m’a été donné de connaître en tant que Ministre de tutelle en charge du Tourisme et des Loisirs, montrent l’ampleur du travail de pédagogie qui reste à accomplir. Ils doivent en attendant être sanctionnés sans faiblesse.

Pour terminer, gardons-nous de trois maux hélas propagés par les réseaux sociaux à la même vitesse que se propage le virus. L’incrédulité tout d’abord. Répétons-le une fois pour toutes : ce virus frappe les Noirs comme les Blancs, les forts comme les faibles, les jeunes comme les vieux, les femmes comme les hommes, les riches comme les pauvres, qu’il fasse froid ou qu’il fasse chaud.

La stigmatisation ensuite : c’est une maladie contagieuse certes, d’où l’obligation de confiner ceux qui en sont atteint, mais ce n’est pas une maladie honteuse, pas plus que le paludisme, la grippe ou la dysenterie. Enfin, sachons que pour l’évaluer et la traiter seuls comptent le langage et la compétence des médecins et des professionnels de santé.

Les charlatans, les complotistes de l’internet, les faux pasteurs et les pseudos guérisseurs qui vous proposent des remèdes miracle sont à fuir comme le coronavirus.

Cette période difficile, pendant laquelle le navire Congo ne peut que se louer d’avoir, en la personne de Denis Sassou Nguesso, un capitaine d’exception rompu à toutes les tempêtes, nous oblige à prendre soin de notre environnement et à modifier nos comportements dans un sens plus responsable, plus solidaire et plus respectueux des autres.

C’est à cette condition aussi que nous sortirons de cette épreuve plus forts et plus unis

Conservation de la biodiversité : le parc national Nouabalé Ndoki doté d’une plaque signalétique

Dans la perspective de renforcer les actions idoines visant la conservation de la biodiversité et la préservation du capital naturel, la ministre du Tourisme et de l’Environnement, Arlette Soudan-Nonault, en collaboration avec celui de la Culture et des Arts,Dieudonné Moyongo, et l’Unesco, a inauguré le 31 janvier, la stèle du parc national Nouabalé Ndoki, situé dans la localité de Kabo, dans le département de la Sangha.

Dénommé tri national de la Sangha, ce parc qui vient d’être doté d’une plaque signalétique de haute qualité est un complexe transfrontalier composé des parcs nationaux Nouabalé Ndoki en République du Congo, Lobeké au Cameroun et Dzanga-Ndoki en République centrafricaine. Il est inscrit depuis 2012 sur la liste du patrimoine culturel et naturel mondial de l’Unesco. Cette reconnaissance de la communauté des nations épouse les efforts des trois pays dans la conservation de la biodiversité et la préservation du capital naturel tri national. Il s’étend sur une superficie de sept-cent quarante et six mille trois cent neuf hectares.

En effet, cette espace naturelle abrite un large spectre de forêts humides riches en espèces dont certains sont en danger d’extinction. Selon les initiateurs du projet, son importance est liée au fait qu’il constitue le modèle de coopération internationale et est le tout premier site du patrimoine mondial à être inscrit au nom des trois Etats.

Intervenant au nom du représentant de l’Unesco au Congo, Richard Bouka a reconnu que cette initiative de doter ce parc d’une stèle est très importante, car elle permet de positionner les trois pays concernés comme vecteur de la conservation de la biodiversité mondiale.

Faisant une rétrospection sur l’historique de ce projet, le responsable de l’Unesco a encore signifié que c’est depuis 2002 que la commission de l’Union européenne en partenariat avec l’Unesco appuie les pays de l’Afrique centrale, notamment le Cameroun, le Gabon, le Congo et la RCA dans la politique de préservation de leurs patrimoines.

« La première phase de ce projet qui avait pris fin en mars 2003 a permis l’inscription du site de la Sangha dans la liste du patrimoine mondial en juillet 2012.

L’inscription de ce site transfrontalier sur la liste indicative du Congo a été faite en juin 2008. Et, quatre ans après il est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité, plus précisément en 2012 », a ajouté, le responsable de l’Unesco. Il précise que la deuxième phase de ce projet qui a démarré en juillet 2016 et financé par l’UE consiste à intégrer aussi le parc national d’Odzala Kokoua dans la liste du patrimoine mondial afin qu’il soit parmi les mille quatre-vingt-douze biens constituant ce patrimoine. Ce qui permettra d’améliorer la présence de la zone Afrique sur cette liste car, elle ne représente que 9,5%.

La conservation de la biodiversité, un facteur clé de lutte contre le changement climatique

La ministre du Tourisme et de l’Environnement, Arlette Soudan-Nonault, a rappelé que la conservation ainsi que la préservation de la biodiversité et de nos sites naturels est l’un des facteurs clés de lutte contre le changement climatique qui devient un problème réel et mondial.

« Les problèmes d’écologie, d’environnement et du changement climatique sont des questions qui sont réelles. Ce qui justifie le bien-fondé et la nécessité de poser cette plaque signalétique au parc Nouabalé Ndoki. Elle met en lumière les questions de la biodiversité au centre. De même, elle attire l’attention des utilisateurs de la flore et de la faune. Nous devrons impérativement conserver ce magnifique patrimoine. Pour ce faire, il faut l’implication de tous. Car, en le préservant, nous le faisons pour l’intérêt de la planète », a déclaré la ministre avant d’appeler les populations à plus de vigilance d’autant plus qu’elles ne vivent  que de la cueillette.

Source: www.adiac-congo.com

Environnement : Célébration de la Journée Mondiale des Zones Humides

Cliquez ici, pour télécharger l’allocution de Madame Arlette Soudan-Nonault, à l’occasion de ladite célébration

Chers Compatriotes,

Mesdames et Messieurs,

Le 02 février de chaque année, la communauté internationale célèbre la journée mondiale des zones humides pour commémorer la signature en 1971, dans la ville Iranienne de Ramsar, de la Convention relative.

Pour cette année, le thème choisi est « zones humides et biodiversité ».

Ce thème vient à juste titre nous rappeler à quel point les zones humides sont, non seulement un sanctuaire pour la biodiversité, mais aussi essentielles à la vie des communautés.

En effet, les zones humides qui ne représentent que 6% des terres émergées, soit environ 778 millions d’hectares, sont parmi les écosystèmes les plus riches et les plus diversifiés qui soient. Elles sont vitales pour la survie de l’humanité et figurent parmi les milieux les plus productifs de la planète.Berceau de la diversité biologique, elles fournissent l’eau et les éléments nutritifs dont d’innombrables espèces de plantes et d’animaux dépendent pour leur survie.

Malheureusement, ces milieux humides sont de plus en plus menacés à l’échelle mondiale, du fait des activités humaines.

Au cours des 50 dernières années, la planète a perdu 50% de ces zones et cette disparition, qui est 3 fois plus rapide que la déforestation, a des conséquences inquiétantes non seulement sur les populations qui en dépendent mais aussi sur les équilibres écologiques et climatiques mondiaux.

Mesdames et Messieurs,

A l’heure où les changements climatiques constituent une menace majeure pour l’humanité toute entière, rappelons-nous que les zones humides séquestrent 30% du carbone terrestre. Elles sont donc de véritable puits de carbone que nous devons à tout prix préserver si nous voulons atteindre les objectifs de l’Accord de Paris sur le Climat.

La préservation et la gestion durable des zones humides s’imposent par conséquent comme une nécessité mais aussi comme une responsabilité face aux générations présentes et futures.

Notre pays, qui a ratifié la Convention de Ramsar en 1998, a inscrit à ce jour 14 sites qui couvrent une superficie totale de près de 14 millions d’hectares au titre de cette Convention.

Parmi les zones humides les plus emblématiques que compte notre pays figurent les mangroves de la zone côtière et les tourbières du Lac Télé.

Si nos tourbières demeurent à ce jour bien préservées, nos mangroves par contre sont sujettes à différentes menaces inhérentes à nos activités.

Notre pays a déjà en 30 ans perdu 60% de ses mangroves avec des incidences sur la ressource halieutique, car ces marais maritimes sont des lieux de reproduction des poissons. Cette perte contribue également au réchauffement climatique, les mangroves étant des écosystèmes à fort capacité de séquestration de carbone.

Mesdames et Messieurs,

Notre conscience collective est donc interpellée face aux enjeux de la préservation des zones humides. Nous en sommes tous à la fois les acteurs et les responsables.

Pour le Gouvernement, il s’agit non seulement d’initier des actions de grande envergure pour protéger et gérer durablement ces écosystèmes, mais aussi de créer les conditions d’instauration d’un cercle vertueux qui permettrait de les valoriser, tout en les conservant.

C’est ainsi que notre pays a lancé avec l’appui de ONU Environnement, un projet de création d’une aire marine protégée dans la Baie de Loango dans le Département du Kouilou. Cette aire marine protégée devrait concilier préservation de la biodiversité et développement des activités écotouristiques.

Dans la même optique, nous avons au cours de ce mois, toujours avec l’appui de ONU Environnement, lancé la phase préparatoire du projet « Conservation intégrée à base communautaire des écosystèmes des tourbières et promotion de l’écotourisme dans les paysages du Lac Télé ».

A terme, ce projet permettra de concilier avec l’implication des communautés locales, la préservation des tourbières de la zone du Lac Télé et le développement de l’écotourisme.

En ce qui concerne les mangroves, notre pays a élaboré avec l’appui du Programme des Nations Unies pour le Développement, une stratégie et un plan d’action afin de les restaurer et de les protéger.

Mesdames et Messieurs,

Le temps de l’action, c’est maintenant. Nous avons besoin des zones humides si nous voulons perpétuer le cycle de vie sur terre. Les défis sont colossaux. Ils sont d’ordre social, sociétal, économique, environnemental et institutionnel.

Il nous faut préserver nos zones humides afin de maintenir les équilibres écologiques et climatiques dans notre environnement.

Nous devons donc aller vers une transformation qualitative de nos modes de vie et de nos économies pour atténuer la pression qui s’exerce sur ces zones fragiles.

Ainsi, des écosystèmes sains, résilients, fonctionnels et diversifiés permettront le développement de solutions au bénéfice de nos sociétés et de la conservation de la biodiversité.

Je vous remercie.

Arlette SOUDAN-NONAULT.

Bassin du Congo : Arlette SOUDAN-NONAULT remercie le Roi MOHAMMED VI

La ministre congolaise de l’environnement et du tourisme, Arlette Soudan-Nonault remercie le roi Mohammed VI pour son aide multiforme qu’il ne cesse de présenter à la commission du climat du bassin du Congo, qui a vu le jour sous son initiative.

« Nous aurons aujourd’hui le mécanisme financier qu’est le fond bleu », annonce-t-elle. « Pendant des années, les pays africains ont été reprochés de ne pas avoir d’instruments avec une transparence et une bonne gouvernance. A cela nous somme entrain de construire avec les 16 pays, qui constituent la commission du climat du bassin du Congo, environ 195 projets » ajoute-t-elle.

Source: leseco.ma

Présentation de l’état d’avancement du Projet READINESS à Madame Arlette Soudan-Nonault par une mission de la FAO.

La République du Congo, à l’instar d’autres pays de la planète, a pris des engagements précis pour contribuer à la lutte contre les changements climatiques. A cet effet, elle a ratifié l’Accord de Paris sur le climat et soumis sa Contribution Déterminée au niveau National (CDN) auprès de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC), manifestant ainsi sa ferme détermination à adopter une politique de développement durable et à apporter un appui à l’effort mondial de réduction des émissions des gaz à effet de serre (GES). Pour y parvenir, le Congo, par l’entremise du Ministère du Tourisme et de l’Environnement (MTE), a sollicité et obtenu du Secrétariat du Fonds Vert pour le Climat un financement visant à mettre en place les orientations stratégiques du Gouvernement en vue d’accéder à la finance climatique dudit fonds.

Ces fonds de préparation, autrement appelés Readiness, sont aussi destinés à faciliter la coordination des différentes initiatives et les efforts des parties prenantes afin de leur permettre de mieux cibler les priorités de financements.

Les mêmes fonds servent également à l’organisation des réunions mensuelles du Groupe de travail multi-acteurs mis en place pour examiner et valider les documents, et faire le suivi des activités liées au Fonds Vert pour Climat en République du Congo.

C’est dans ce cadre que du 25 novembre au 29 novembre 2019, une mission de la FAO conduite par Monsieur Philippe CRETE, séjourne à Brazzaville.

Cette mission a été reçue ce mercredi 27 novembre 2019 par Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, afin de présenter l’état d’avancement du projet Readiness.

Il ressort de ces échanges que le projet se poursuit normalement. Toutes les études de faisabilité prévues dans le cadre de ce projet ont été réalisées, les réunions du groupe de travail multi-acteurs devant statuer sur les questions relatives au Fonds Vert pour le Climat se tiennent régulièrement et ce projet a déjà été exécuté à près de 85%.

La mission a mis aussi à profit cette audience pour informer Madame la Ministre sur l’état d’avancement de la finalisation du document du projet PREFOREST, projet initié par le Gouvernement congolais avec l’appui de la FAO qui permettra de réduire les émissions de gaz à effet de serre et d’augmenter la résilience des populations locales tout en assurant la durabilité des investissements dans les projets d’agroforesterie, de foresterie et d’agriculture climato-intelligente.

L’atelier de validation du document de ce projet est prévu le 29 novembre 2019.

PERMIS NGOKI: décret, études & autorisation portant sur l’ouverture des activités de forage et l’exploration des puits dans le département de la cuvette

Congo: Conversion du CO2 en encre indélébile/ peinture

Pour encourager les œuvres du génie congolais, Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement, a assisté ce vendredi 19 juillet 2019 à l’IFC, à la démonstration scientifique de transformation de CO2 en encre indélébile ou en peinture, faite par l’inventeur congolais Alain Brice NIAMA.

Ce procédé mise en place par l’inventeur congolais résident aux USA, est l’une des solutions de valorisation du CO2. Ce qui permet de réduire les émissions de ce gaz dans l’atmosphère.

Rappelant que le CO2 est compté parmi les gaz à effet de serre dont les émissions ont pour conséquence le réchauffement climatique.

PNUD Congo : Signature du Plan de Travail Annuel 2019 avec le Ministère du Tourisme et de l’Environnement du Congo

Dans le cadre du partenariat entre le Ministère du Tourisme et de l’Environnement et le Programme des Nations Unies pour le Développement, la Ministre Arlette SOUDAN-NONAULT avec Madame Emma NGOUAN ANOH, Représentante du PNUD au Congo, ont signé le Plan de Travail Annuel 2019 (PTA).
Ce plan de travail 2019 permettra aux deux parties de fixer les actions prioritaires dans les domaines du Tourisme, de l’Environnement, du Développement Durable et des Loisirs qui seront menées cette année.